Arrivé tôt cette fois, j'ai pu attaqué par un Sanseverino très en forme, à l'humour caustique (qui n'a pas fait sourire tout le monde mais bon..) du style :
- "alors on est bien au supermarché de la musique, tu vas rester là devant jusqu'à ce que l'autre scène débute. Je t'en veux pas hein ? moi il y aurait Trust à côté je me barrerai aussi"
- "d'habitude quand je joue à PAris ou à Las Vegas j'ai un big band derrière, mais là pour la Province on a choisi de faire des économies. Donc vous allez faire les "ouhouhouh". 'tain mais appliquez vous !"
- "à l'éclairage, qui ne sert à rien à 16 heures mais qu'on garde pour préserver un emploi : machin !"
Oui désolé Chouyo, cette fois pas de François Béranger mais du Gilbert Bécaud.
Et comme je suis un rebelle, j'ai passé outre son commentaire acerbe : "les gens qui prenez des photos, vous êtes bizarres ! vivez le concert ! à moins que vous ne soyez des spectateurs de TF1, vous avez besoin de tout voir au travers d'un écran c'est ça hein ?" voici quelques clichés :
fin de concert acoustique avec deux micros "à pas cher" |
Bon il faut quand même dire que Sanseverino n'a pas fait que le clown. Il a aussi dédicacé ce concert et toutes sa tournée à Clément Méric "ni oubli ni pardon" et une chanson sur le drame des femmes battues par leur compagnon "je suis un gentleman".
Sanseverino - Le Ring #8 - Live par orangemusique
Après Sanseverino, en route pour Lo'Jo Triban, que Matfanus et sa douce et tendre voulaient que je découvre. Nous souffrîmes de la chaleur :
petit jeu sauras tu retrouver les pieds d'un écureuil (ça ressemble pas à des pieds de hobbit les pieds d'écureuil ?!), d'un blogueur fainéant même pas foutu de faire un compte-rendu de son festival, et d'une jeune femme qui supporte ledit blogueur au quotidien ?
Lo'Jo c'est merveilleux, mais ils souffraient autant que nous de la chaleur, en fin de soirée j'aurais adoré écouté "la marseillaise en Créole", "Alger" ou leur chanson sur les rêves mais là sous un soleil de plomb déjà subi pendant Sanseverino il était temps que je m'esquive, surtout que Matfanus en voulait toujours plus mes pieds nus ne suffisant pas apparemment. Je m'éclipsais donc sous le chapiteau, bonne idée pensais-je puisqu'à l'ombre. Mais grand malheur ! Martine on the beach était en train d'y mettre un tel feu que l'on avait l'impression d'être dans une cocotte minute !
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Faisait pas trop soif ?
RépondreSupprimersi j'ai bu au moins 10 L de flotte ! :)
SupprimerBon je fais le mien après la sieste.
RépondreSupprimerencore un truc crapuleux ?!
SupprimerP'tain faut que je trouve le temps de faire l'editing des photos et le post-traitement. T'as oublié de parler d'Asaf Avidan :-P
RépondreSupprimersi si là à l'instant :) et je suis resté poli :)
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