D’ailleurs je dis merlan, mais je devrais pas, j’l’aime bien
ma coiffeuse, elle pratique son art à deux rues de chez moi (une clope aller,
une clope retour) et surtout ne prend pas cher. Pas comme les ceusses des
grands salons parisiens ou de Courbevoie,
qui coiffent des hommes politiques comme François Hollande en trouvant
intelligent de ressortir d’un fond de tiroir de
la gomina, et doivent coûter la moitié d’un budget de campagne. Ma
coiffeuse elle a certainement pas appris
sur une tête de Barbie., elle est douée, et réussit même à me faire
papoter, ce qui est un exploit vous dirait sûrement Mtislav, qui me trouve « aussi bavard qu’un
coffre suisse » mais bogosse donc ça compense. En plus elle est
merveilleuse, quand je lui dis comme d’habitude, elle fait comme d’habitude ,
bien que je ne me souvienne pas lui avoir jamais dit ce que je souhaitais comme
coiffure, étant un peu court en matière de mode
capillaire.
Bon où en étais-je ?
Non il n’y aura pas de
photo avant après, je tiens à conserver un minimum d’anonymat, essayant de me
protéger des hordes de jeunes femmes accortes qui ne manqueraient pas de se
précipiter à Tours, dès ma trombine connue, mettant en péril ma vie de famille…
Ah oui les calendriers de poche !
Figurez-vous que devant la machine à café, fouillant mes poches à la recherche d’une piécette qui m’aurait permis de me régaler d’un café long sucré, je tombais sur un carré de papier cartonné. Retirant ma main de ma poche, mes doigts embaumaient un
Jusque là rien de très normal, tous les ans des parfumeurs refourguent aux salons de coiffure des calendriers de poche, aspergés de parfums aux noms exotiques tels que « Cap Noir », « Elixir », ou que sais-je encore. Bref des parfums que tu trouves surtout chez les camelots du marché (enfin les bons hein ?) et dont tu ne connais pas le nom avant de l’avoir vu sur l’étal. Un modèle femmes, un modèle hommes, sur lesquels on a pris soin de vider la moitié d’un flacon, pour que l’odeur tienne une année (au moins, je crois en avoir retrouvé une fois, un vieux de 4 ans dont l’odeur était encore plus forte que celle des mégots du cendrier de la voiture dans lequel il était).
J’ai toujours connu ça, depuis gamin. Et quelle ne fut pas ma surprise devant l’étonnement de mes collègues : sur 4 ou 5 présents (hommes et femmes) aucun n’avait jamais entendu parler de ces calendriers de poche parfumés !
Et t'as pas une photo de la coiffeuse au moins ?? :D
RépondreSupprimerExcellent, mdr !
RépondreSupprimer@Matfanue ah ben dis donc t'as qu'à venir la voir directement ! m'enfin ! tu crois que j'ai des gadgets qui me permettent de prendre des photos comme ça ? :)
RépondreSupprimer@Yann merci
Quel suspens !
RépondreSupprimerTiens ! Y'a le vieux qui parle comme les jeunes. nous ne serons pas dupes...
@Nicolas t'en avais des calendriers de poche dans ton salon de lusque au fait ?
RépondreSupprimer(c'était YAnn Savidan , mince je me suis fait blouser sur ce coup là :) )
Je boycote.
RépondreSupprimerj'ai pas pu, je voyais bien qu'elle voulait s'en débarrasser, j'ai eu pitié :)
RépondreSupprimerBen moi je ne connaissais pas, heureusement que les éboueurs ne font pas pareil!
RépondreSupprimer@El Camino ah oui ce serait terrible avec du jus de poubelles :)
RépondreSupprimerde dos la photo !!!! juste pour voir si t'as la nuque dégagée !
RépondreSupprimerun peu que j'ai la nuque dégagée ! ma coiffeuse est une artiste du rasoir :)
RépondreSupprimerFaut bien ça pour réussir à faire quelque chose de toi
RépondreSupprimertu veux parler de mon épi ? :) figure toi que les filles en ont hérité (les pauvres) Anna en a même 2
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