vendredi 23 mai 2008

(début) Soirée de la Saugrenue à Aucard de Tours 2008

Hier soir c'était la Saugrenue qui était aux manettes !



Après un début de soirée un peu compliqué :


J'ai d'abord cru que j'avais oublié mes papiers au bureau. En fait c'est une habitude chez moi : je viens tout juste de les retrouver dans un sac de voyage après avoir été déclaré leur perte au Commissariat et commencer toutes les démarches pour en refaire... J'étais donc légèrement agacé !


« vite!, ai-je dit à Camille, faut qu'on fonce à mon travail avant 20 heures car l'alarme s'enclenche après ! », on met donc un sweat chacun dans mon sac à dos, premier faux-départ : j'avais oublié l'appareil-photo !

Je remonte à la maison, pendant que Camille sourit gentiment à côté de la voiture, je prends l'appareil-photo et on re-fonce dans la voiture : direction le boulot, qui par chance est juste à côté du Festival...

On arrive au boulot après avoir galéré sur l'A10 (ah oui ! les Franciliens qui liraient ce blog et qui auraient envie de partir vers la mer par l'A10 ce week-end, méfiez-vous la traversée de Tours est un véritable enfer pour cause de travaux sur ce p...t...n d'autoroute qui traverse notre ville !). Là je fouille de fond en comble mon bureau : RIEN !

Je redescend, dépité, prêt à rentrer à la maison pour me coucher et pleurer toutes les larmes de mon corps (après avoir donné à manger à Camille, hein ?! Faudrait pas que ma douce et tendre passe par là et pense que j'ai été un mauvais père...) et puis j'ai un éclair de génie (très rare, surtout ces temps-ci...) j'avais le sac-à-dos pour aller à la médiathèque la veille au soir... Je regarde donc calmement dedans et là surprise : mon porte-feuille m'attend sagement...

Tout content, j'appelle Thomas (un copain qui devait nous rejoindre), puis je ferme la voiture. Je regarde par la vitre : merde j'ai oublié mon sac à dos dedans (avec mes papiers...), je cherche mes clés de voiture ... Hé ben ouais j'avais réussi à fermer cette b.. di.. de caisse avec les clés dedans ! Je rappelle donc Thomas : « euh changement de programme, faudrait que tu nous remontes à Tours Nord pour voir si à tout hasard j'aurai pas un double des clés de la voiture... » « sourire »(rigolez pas, les sourires on entend quasiment que ça dans un téléphone !).

Thomas arrive donc 15 minutes plus tard, nous embarque, on regalère sur l'A10 (ah oui ! les Franciliens qui liraient ce blog et qui auraient envie de partir vers la mer par l'A10 ce week-end, méfiez-vous la traversée de Tours est un véritable enfer pour cause de travaux sur ce p...t...n d'autoroute qui traverse notre ville !)

Arrivé à la maison je me reprécipite vers les tiroirs du bureau et là le Graal m'attend : un double des clés de la bagnole !

Vite on retourne vers le Festival ! Toujours par l'A10, qui est plus fluide (il est 20 heures, les Tourangeaux sont rentrés à la maison et les routiers espagnols se sont arrêtés. On avale une cochonnerie pour se donner un peu de coeur à l'ouvrage, et là on est paré : on a tout (le sac à dos, les clés de la voiture, les places pour Aucard (j'ai eu un doute pour ça aussi suite à changement de pantalon...) !


On arrive donc sur la Plaine de la Gloriette une heure et demie à peu près après l'horaire prévu... C'est con j'avais prévu de pas y rester trop tard pour que Camille soit un minimum en forme à l'école aujourd'hui... Du coup on a juste eu le temps de boire 2 bières, récupérer les Mp3 du Pimant et voir Ygranka


Heureusement, à l'entrée on était tombé sur les Mattei d'Azay, ce qui était bien, je leur ai laissé l'appareil photo en fin de soirée pour avoir des jolies vidéos de La Goutte au Nez.


Allez promis je vous raconte la soirée de la Saugrenue très bientôt !

2 commentaires:

  1. Trop délire ! au moins aussi bordélissime que mémé Kamizole... A croire que c'est la fréquentation prolongée des bords de la Loire ? qui continuerait à opérer chez moi bien des années après. En tous cas, j'ai bien ri. En ce moment, je ne sais pas non plus où est mon porte-feuilles : sous quelle pile de papiers, jounaux ou livres ? Pour ce qui est des embouteillages à Tours, j'ai le souvenir d'avoir remonté il y a une bonne quarantaine d'années la Rue Nationale à pieds un samedi midi en venant de la gare, j'allais incomparablement plus vite que les voitures et une ambulance des pompiers essayait désespérément de se frayer un chemin à grands coups de "pinpon"...

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour;

    Est-ce l'air de la Loire ou le p'tits vins de cette douce région qui rendent aussi bordélique, je me pose la question, puis je m'en ressers un verre !

    Pour la Rue Nationale elle est maintenant piétonne. Mais c'est toujours aussi dur pour les ambulances qui doivent maintenant se frayer un chemin parmi des badauds attirés par les promos et soldes en tout genre !

    RépondreSupprimer

laissez moi un commentaire, ça fait toujours plaisir

(ne vous fâchez pas par contre, j'ai modéré les commentaires pour les billets ayant plus de 5 jours)