Le premier numéro, daté de 1981, revient sur les 100 ans d'école publique en Touraine, j'y ai trouvé une photo croquignolesque sur les leçons de vie dispensées à l'époque :
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le pass deeeglingué, avec les tickets de dépôt, et la liste des lieux de collecte |
A Tours, on a la chance d’avoir une radio associative qui bouge depuis plus de vingt ans maintenant : Radio Béton ! C’est aussi la radio organisatrice du Festival Aucard de Tours.
Donc quelques infos sur ce que prépare Radio Béton :
Tout d’abord leur nouveau site est disponible, il est biô, mais je regrette qu’on ne puisse plus écouter leurs merveilleux jingles…
La 7ème édition du Prix « Rock Attitudes » est lancée depuis le 8 septembre :
On a (que l’on soit étudiant à l’Université de Tours au audit(eu)rice de Radio Béton, ce qui est facile puisqu’on peut l’écouter sur le net) jusqu’au
Le jury sera notamment composé de Thomas VDB, célèbre tourangeau qui a commis plusieurs trucs rigolos comme un pastiche du clip Stress de Justice (no stress par justesse) et qui était aussi le manager de Freddy Coudboul (euh c’est chez Ruquier l’extrait vidéo mais c’est rigolo quand même).
Comment que ce serait cool que des copains et copines s’y collent ! La musique mécanique ça devrait pouvoir inspirer Dorham, Balmeyer, Irène, Zoridae, Monsieur Poireau, Nefisa, et j’en oublie sûrement !
Lancement de Musica ex Machina :
Projet (à la trashion) de récupération d’objets destinés au rebut en vue de créer des machines à musiques. L’idée est très bonne et aussi ambitieuse que celle des machines de l’Île de Nantes. D’ailleurs les artistes associés (François Delarozière, Mino Malan) sont liés de près ou de loin à Royal de Luxe. En tout cas le lancement a lieu le 16 octobre 2008 à 20 heures 30 à la salle Thélème de l’Université François Rabelais à Tours (l’appel à récupération est lancé pour le même jour dès
L'objet qui tue : cette semaine, le CD
Par Terra Economica
jeu 07 jui, 15h06
Plus de 7 milliards de CD vierges ont été vendus dans le monde en 2005. Un triomphe commercial. Un coup dur pour l'environnement.
Une galette. Une simple galette composée à 99 ?% de polycarbonate (plastique) mais aussi d'aluminium, de vernis, de colorants et de l'étiquette qui se colle sur son dos. Voilà la recette indispensable à la fabrication du CD ou de son cousin le DVD. Une recette ingénieuse, que l'on utlise peu sous nos latitudes. Car, affaire de gros sous oblige, ces disques sont dans la plupart des cas conçus en Asie, à Taïwan notamment, où les coûts de main-d'œuvre sont modérés. Emballés dans des coffrets en plastique, ils prennent ensuite la direction des aéroports pour être vendus aux quatre coins du globe.
D'origine publicitaire, ou simplement gravé pour une utilisation ponctuelle, le disque finit souvent sa course au fond de la poubelle. Sa destruction - par incinération - ne pose pas de problème technique particulier. C'est en revanche un non-sens écologique. Car, contre toute attente, les CD ou les DVD sont parfaitement recyclables. Ils peuvent en effet servir à la fabrication de pièces automobiles, de boîtiers d'imprimantes ou d'ordinateurs. Pour cela, encore faudrait-il pouvoir rapatrier les objets destinés à la benne à ordures. Or, c'est là que le bât blesse. Si l'Allemagne a, depuis longtemps, mis en place une filière de récupération, la France est à la traîne. Une vieille rengaine en matière d'environnement.