De tout et de rien

Aucard de Tours, la soirée du samedi 11 juin 2011

Bon à la lecture du compte-rendu du Grenier de Tours je suis vraiment triste d'avoir loupé The Inspector Cluzo et Gérard Baste. Mais bon, faut bien s'occuper de temps en temps des enfants, n'est ce pas Solveig ? (et non Dadavidov et Dan les filles n'ont pas été conçues pendant une édition d'Aucard ;) )

Bon je me suis rattrapé avec les soirées du samedi et du dimanche.

Samedi :

Gros concert de Zone Libre, B. James et Casey. J'avais vraiment découvert cette dernière lors d'une dernières soirées du Bateau Ivre. Son rap m'avait réconcilié avec un des styles musicaux qui avait le plus bercé ma douce et tendre jeunesse. Un flow puissant (« comme un char d'assaut  oh! Oh ! Aiguisée comme une lame ») et des paroles percutantes.

Alors la voir avec B. James accompagner la guitare de Serge Teyssot-Gay fut véritablement un bon moment. Le meilleur concert de cette édition d'Aucard pour moi.

(désolé pour le son, le micro de l'appareil familial n'a pas supporté, alors que franchement les gens au son pendant tout le festival ont fait un super boulot et je ne voudrais pas que cette vidéo les desserve..)

Bon comme pour les Jon Spencer Blues Explosion voilà une session de rattrapage de Zone Libre en live chez Nuits Zébrées...

Après ça, j'ai couru me faire sérigraphier 2 t-shirts aux couleurs d'Aucard, pour être beau en été (manches courtes) comme en hiver (manches longues). Grâce à B. Myself et Nicotcha je serai jamais tricard avec mes t shirts.

Une fois vêtu de mon beau t-shirt à manches longues (ça commençait à se rafraîchir un peu) direction le bar. Et là plus de gobelets de l'édition 2011. Ils avaient tous été utilisés. Preuve que cette édition 2011 restera comme un très bon cru au niveau de la fréquentation.

Puis ce fut le tour de Toxic Avengers. La scène fut très rapidement prise d'assaut par des hordes de fans. Ça dura tout le temps du set. En toute bonne ambiance.

Puis re-bar... après avoir bougé son corps, toussa... Sous le petit Chapiteau, DJ Marrrtin se mettait en place. Et là Monsieur RomainPigenel, va falloir se mettre à bosser sérieusement si vous voulez organiser une pure soirée au prochain Congrès du PS. Parce que là la concurrence est plus que sévère. DJ Marrrtin réussit tout de même l'exploit de te passer dans le même set du funk, de la soul, du bollywood, des percus brésiliennes, et tout ça sans temps mort pour les danseurs. Je profitais aussi de ce set sous le petit chapiteau pour m'entraîner à prendre des photos de près d'artistes pour ne pas me faire moquer plus par FabriceB37... Mais m'écartais vite devant l'invasion de scène encore une fois...

Fort de cette expérience de reporter de l'extrême, je réitérai sous le grand chapiteau. Sur scène s'installait 4 DJ. Bon je me collais à la scène, en attendant le début. J'ai eu le temps de prendre 3 photos, avant de mourir écrasé par une foule de fans mis en furie par les 2 premières notes de Dirtyphonic !

Ça ressemblait à ça mais sans rappeur :

Je réussis à m'extirper (difficilement) et à trouver refuge au bar (qui a dit encore ?!) avant de rentrer sagement, non sans avoir cherché à manger quelque chose : catastrophe ! Les 40 kilos de merguez de « Régis le roi de la saucisse » s'étaient évaporés en quelques heures. Autre preuve d'une fréquentation bien plus qu'honorable de cette soirée du samedi.

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