François Hadji Lazaro et Pigalle viennent chanter pour les enfants de 7 à 77 ans à Saint Avertin

François Hadji Lazaro et les enfants ça fait longtemps que ça dure cette histoire !

source : http://www.concertandco.com/critmars/fhl-pig-stremy%20(6)_s.jpg

Déjà à la grande époque du « rock alternatif » il avait participé (initié ?) le projet « mon grand frère est un rockeur ». J’en parlais là du temps où ce blog était beaucoup plus actif. Il y chantait déjà « l’éboueur » avec Pigalle, « avec mémé au supermarché » avec les Garçons Bouchers et « la visite au zoo » avec Los Carayos.

Il sort son deuxième album, après « Ma tata, mon pingouin, Gerard et les autres... », qui s’appelle plus sobrement : « Pouët » et est toujours somptueusement illustré par Delphine Durand.

Dans le précédent il y avait de chouettes morceaux, comme le poétique « des continents incroyables » :

Dans le nouveau il y a une revisitation du titre phare « dans la salle du bar tabac de la rue des martyrs », qui devient « dans la salle de la cantine de l’école de la rue des Martines » :

Enfin bref, tout cela annonce une jolie fin d’après-midi dimanche à Saint Avertin :

 Pouët - Spectacle Jeune Public Dimanche 2 octobre - 17h A partir de 6 ans "Nouvel Atrium" Tarif : 4/3 €

Billet non sponsorisé, (mais s’il y a moyen de moyenner...: nous serions 4 ou 5 (voire 10 si on prend les copains et copines des filles), on accepterait de ne pas être dans le carré VIP et de se contenter de grenadine s’il est fraiche) ~~~~~~~~~~~

Tous à l'Opéra ! Surtout nous !

Samedi soir avait lieu l'opération "Tous à l'Opéra", portes ouvertes dans le Grand Théâtre de Tours, qui permet de découvrir l'envers du décor de cet art qui nous plaît bien. le point d'orgue de la journée est la possibilité d'assister à une répétition "scène-orchestre", c'est à dire avec les chanteurs en costume, le décor et l'orchestre. C'est une répétition quai-finale, mais il y a quand même des arrêts commandés par le chef d'orchestre (Jean Yves Ossonce) ou le metteur en scène (Alain Garichot).  En 2012 nous avions pu voir  Rigoletto de Verdi, en 2014 Cosi Fan Tutte de Mozart et l'année dernière Madama Butterfly de Puccini. Cette Année nous avons eu droit à Eugène Onéguine de Tchaïkosvski (Nekkonezumi va se moquer mais je ne connaissais pas).

Comme on était un weekend de 4 jours pour beaucoup de monde, nous avons eu la chance de trouver le théâtre beaucoup plus vide que lors des journées portes ouvertes précédentes. On s'est payé le luxe de s'installer dans une loge :

Nous avons pu assister aux répétitions à partir du premier tableau de l'acte II, qui débute par une fête d'anniversaire, celle de Tatiana, comme les sous-titres n'étaient pas encore complètement réglés on a pas compris toute l'intrigue mais la musique, les costumes, les décors, le talent des artistes lyriques, nous ont vite conquis :

Monsieur Triquet, interprété par Loïc Félix, personnage français, qui chante donc dans notre langue

 Cette joyeuse fête se terminera par une dispute terrible entre Eugène Onéguine (Jean-Sébastien Bou) et Lenski (Sébastien Droy), tous deux excellent au chant, au sujet de Tatiana (interprétée par Géléna Gaskarova) et Olga. Je fais le malin mais c'est parce qu'enfin les surtitres fonctionnaient. Et puis Wikipedia reprend l'intrigue.

Le rideau se baisse après que Lenski jette son gant à la figure d'Eugène Onéguine. Il a dû lui jeter 3 fois je crois, car il y avait à chaque fois un truc qui faisait tiquer qui le chef d'orchestre, qui un des artistes. Mais on sentait du plaisir sur scène et dans la fosse, l'ambiance était détendue, et tout le monde reprenait sans souci, loin de l'image que l'on peut avoir des divas.

Le rideau s'est ensuite levé sur le décor du 2ème tableau :

Lenski attendant le duel, l'aube commençant à pointer. 

Et Eugène Onéguine arrive avec son témoin :

Je vous en dis pas plus, z'avez qu'à aller à l'opéra !

Nous on retourne au grand théâtre très bientôt, car le Temps Machine y a invité Ballaké Sissoko et Vincent Segal :







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Sous les pavés, le son : concert gratuit le 5 juillet place de la Préfecture à #Tours

le jeudi 5 juillet 2012, à partir de 19h30, Place de la Préfecture le Conseil Général, en collaboration avec de nombreuses associations culturelles tourangelles comme Béton Production, Créa’son (L’aubrière à Fondettes), l’Asso (Terres du Son), Tous en Scène (Coups de boost) et Jazz à Tours (Émergences), organisent un chouette concert gratuit.

Sous les pavés le son !

avec 5 groupes locaux :

·         « Holding Sand » groupe rock - post Hard-rock ;
·         « Cordeone » artistes aux influences métissées reggae, hip-hop et jazz, découvert via @FabriceB37 et ses photos
·         « The Moonjellies » groupe Folk, rock et pop,
·         « Groove Catchers » jeune trio jazz-rock.
·         « Fumuj »  qu’on ne présente plus et qui m’avait vraiment plu à Aucard de Tours l’an dernier, par son son mais aussi sa démarche destinée aux malentendants

Pour revivre le concert de Fumuj à Aucard :

FUMUJ-LIVE AUCARD DE TOURS master by FumujOfficial

En plus de ces 5 groupes, la Fanfare de la Saugrenue assurera les interplateaux.

Bref, une bien bonne soirée en perspective !

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1 soirée au Temps Machine pour sauver les Requins Marteaux !

Les requins marteaux (9 espèces) sont regroupés au sein de la famille des sphyrnidae sont une des maisons d'édition de bande dessinée les plus productives et les plus originales de ces dernières années. Malheureusement ils sont en danger : il leur manque 60 000 € pour survivre. Tout est expliqué chez Komic Strips. Alors ils recherchent ces sous avec pugnacité en ne ménageant pas leurs efforts. Après avoir ouvert leur catalogue, ils ont chanté :

et maintenant ils se lancent dans des concerts-dédicaces de soutien, des live aid

affiche de Luz pour l'évènement,

Ils seront  au Temps Machine demain soir (jeudi 29 septembre à partir de 18 h 30), 
et Terreur Graphique sera à Bédélire vendredi à 16 heures 30.
Sauvez les requins marteaux by crusty-poulet

et même que si tu veux garder tes sous de l'entrée pour acheter encore plus de trucs (Bd, affiches, t-shirt) des Requins Marteaux, apparemment TMV a des places à t'offrir au mail suivant : redac.tmv@tours-maville.com

Et moi ça me touche ces maisons d'édition menacées, ça me rappelle la belle aventure Filaplomb et ça me rend triste.

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j'ai z'été voir Tigran Hamasyan en concert et j'en suis bien content !

Vendredi, on est sortis avec ma douce et tendre voir Tigran Hamasyan au Grand Théâtre de Tours. Ce fut une véritable claque.

Le lieu tout d'abord : un théâtre beau comme tout, construit au 18ème siècle, de gentilles hotesses t'indiquent ton chemin : monter l'escalier, à droite au premier entresol, et enfin une dernière t'amène jusqu'à ton siège.

Nous avons alors eu quelques minutes pour nous imprégner du lieu : plafonds décorés, balcons richement sculptés, public entre deux extrêmes : personnes d'un certain âge, venues surtout pour la Fondation à l'origine du concert et jeunes étudiants en musicologie, venus avant tout pour l'artiste, enfin c'est l'idée que je me faisais en regardant une dame d'un certain âge, col en fourrure assise à côté d'un jeune homme arborant de bien belles dreadlocks.

Puis Tigran Hamasyan et son quintet sont arrivés sur scène. Et nous avons tout de suite été emportés. Au gré de la voix d'Areni, et des improvisations du reste du Aratta Rebirth.

Quand Dorham nous en avait parlé sur son blog, j'avais apprécié le son de ce jeune pianiste (22 ans...) mais là de le voir en live, c'est une véritable clqaaque que j'ai prise. Pas un instant je ne me suis ennuyé, une heure et demi ou deux heures qu'a duré le concert, le rythme n'a pas faibli une seule fois : entendons nous bien ce n'était pas du hard-rock ou du punk, ce que j'essaie de dire c'est que la musique ne nous a pas laissé un instant de répit.

Encore merci pour ce voyage, je vous conseille fortement d'y aller si vous avez l'occasion de le voir.

Et pour la route "Road Song" :

trouvé sur le blog de Forgabelle qui eut la chance d'accompagner Tigran Hamsyan en Arménie.

et de trés belles photos sur le blog j'ai flâné pour vous

bon je ne résiste pas je vous en colle un dernier :

Oh et puis zut, vraiment le dernier qui conclut le concert auquel j'ai eu la chance d'assister :

Ce fut un moment de communion dans le public, à l'écoute de ce morceau de "scat vocal", tout le monde secouait la tête en rythme, on se serait cru dans la fosse VIP d'un concert de Metallica (non je rigole)

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