Hop ça y est fini le livre ! (enfin va sûrement se moquer Shaya...).
Un bon policier, plein de rebondissements, et de clins d'oeil sympathiques. Angelita (qui mange dorénavant avec la nouvelle number ouane du classement multi-thématique) me demandait à qui me faisait penser le personnage Berléand, ben je dois avouer que ce n'était pas à Maigret... Je voyais plus le commandant Rovère de "boulevard du Palais" (joué par Jean-François Balmer) pour le côté roublard (après le côté services secrets internationaux, euh là je dois avouer que je voyais pas trop). Pourquoi je parle de Rovère ? parce que je connais plus les livres de Jonquet que ceux de Simenon, et comme Boulevard du Palais est tiré des Orpailleurs, j'aime beaucoup les personnages... Mais bon je disgresse.
Un bon policier, plein de rebondissements, et de clins d'oeil sympathiques. Angelita (qui mange dorénavant avec la nouvelle number ouane du classement multi-thématique) me demandait à qui me faisait penser le personnage Berléand, ben je dois avouer que ce n'était pas à Maigret... Je voyais plus le commandant Rovère de "boulevard du Palais" (joué par Jean-François Balmer) pour le côté roublard (après le côté services secrets internationaux, euh là je dois avouer que je voyais pas trop). Pourquoi je parle de Rovère ? parce que je connais plus les livres de Jonquet que ceux de Simenon, et comme Boulevard du Palais est tiré des Orpailleurs, j'aime beaucoup les personnages... Mais bon je disgresse.
Donc, le bouquin d'Harlan Coben. Je tiens d'ores et déjà à rassurer les futurs lecteurs : si vous n'avez jamais lu aucun autre bouquin de cet auteur, vous comprendrez rapidement qui est qui, et même prendrez un certain plaisir à découvrir l'équipe qui gravite autour de Myron Bolitar (le héros, d'une série semble t'il déjà bien fournie). Myron est un ancien athlète de haut niveau, ayant dû changé d'orientation suite à un accident, copain avec un "aristocrate" rencontré à la fac (Win est un autre sacré personnage, si l'auteur a un jour un creux avec Myron il pourra toujours se pencher sur lui et en tirer une sacrée quantité d'aventures aussi).
Donc l'jistoire commence avec un Myron Bolitar qui est appelé par une femme qu'il a aimé il y a longtemps, sur une île déserte. Qu'il a perdu de vue, mais dont on devine qu'elle l'a aidé dans une aventure précédente avant de re-disparaître à nouveau. Le tourbillon de la vie quoi ! Terese, puisqu'elle se nomme ainsi lui demande donc de venir le rejoindre à Paris, et semble affolée au téléphone. Sa compagne du moment venant de lui faire comprendre qu'elle allait partir à l'autre bout du pays, mais qu'il n'avait pas forcément de place dans le coffre pour ces affaires, il lâche tout et décidé d'y aller. Il s'attend à un week-end romantique à Paris, il comprendra vite qu'il n'en est rien.
La première partie (mise en place de l'intrigue, importance du rôle de Berléand, découverte de Paris et Londres par les yeux d'un américain, rythme soutenu de l'intrigue) est très plaisant. Je rejoins Clara sur ce point : c'est ma préférée. J'aimerais d'ailleurs beaucoup voir les photos que n'a pas manqué de prendre l'auteur au cours de ses repérages dans les greniers du 36, quai des Orfèvres : il décrit de superbes vues de Paris et de ses toits.
La première partie se termine sur Myron tombant dans les vapes (blessé et tout et tout). La seconde partie commence par une séquence trés bien ficelée d'images et de sons parvenant au héros alors qu'il qu'il est à l'isolement dans un de ces points noirs des services secrets, dans lesquels seraient tenus en isolement toutes sortes de personnes disparues. Car à la fin de la première partie on comprend qu'on se dirige vers une histoire de terrorisme international avec des méchants arabes et des gentils occidentaux. La suite m'a paru plus longuette, quelques effets de surprise mais en fait j'avais tellement dévoré la première que là je suis resté sur ma fin. Au point de pouffer sur la dernière image (si tu n'as pas lu le livre ne lis pas cette parenthèse : des femmes en burqa transformées en incubateurs, là franchement j'ai eu du mal... la burqa est tristement à la mode ces temps ci, est-ce la peine de faire des références à Aliens ou Matrix ?).
Enfin bref, l'un dans l'autre c'est un trés bon bouquin, mais je dois déjà le prêter à une quinzaine de personnes, ben tente plutôt de le gagner au lieu de me le demander en commentaire :
Donc l'jistoire commence avec un Myron Bolitar qui est appelé par une femme qu'il a aimé il y a longtemps, sur une île déserte. Qu'il a perdu de vue, mais dont on devine qu'elle l'a aidé dans une aventure précédente avant de re-disparaître à nouveau. Le tourbillon de la vie quoi ! Terese, puisqu'elle se nomme ainsi lui demande donc de venir le rejoindre à Paris, et semble affolée au téléphone. Sa compagne du moment venant de lui faire comprendre qu'elle allait partir à l'autre bout du pays, mais qu'il n'avait pas forcément de place dans le coffre pour ces affaires, il lâche tout et décidé d'y aller. Il s'attend à un week-end romantique à Paris, il comprendra vite qu'il n'en est rien.
La première partie (mise en place de l'intrigue, importance du rôle de Berléand, découverte de Paris et Londres par les yeux d'un américain, rythme soutenu de l'intrigue) est très plaisant. Je rejoins Clara sur ce point : c'est ma préférée. J'aimerais d'ailleurs beaucoup voir les photos que n'a pas manqué de prendre l'auteur au cours de ses repérages dans les greniers du 36, quai des Orfèvres : il décrit de superbes vues de Paris et de ses toits.
La première partie se termine sur Myron tombant dans les vapes (blessé et tout et tout). La seconde partie commence par une séquence trés bien ficelée d'images et de sons parvenant au héros alors qu'il qu'il est à l'isolement dans un de ces points noirs des services secrets, dans lesquels seraient tenus en isolement toutes sortes de personnes disparues. Car à la fin de la première partie on comprend qu'on se dirige vers une histoire de terrorisme international avec des méchants arabes et des gentils occidentaux. La suite m'a paru plus longuette, quelques effets de surprise mais en fait j'avais tellement dévoré la première que là je suis resté sur ma fin. Au point de pouffer sur la dernière image (si tu n'as pas lu le livre ne lis pas cette parenthèse : des femmes en burqa transformées en incubateurs, là franchement j'ai eu du mal... la burqa est tristement à la mode ces temps ci, est-ce la peine de faire des références à Aliens ou Matrix ?).
Enfin bref, l'un dans l'autre c'est un trés bon bouquin, mais je dois déjà le prêter à une quinzaine de personnes, ben tente plutôt de le gagner au lieu de me le demander en commentaire :
~~~~~~~~~~~
Rhoooo je suis outrée!
RépondreSupprimerJamais je ne me moque de toi!
JA-MAIS!
Pas mon genre franchement...
(Ah ben quand même tu l'as fini ce livre! Il était temps!;-p )
Tu me le prêtes? ;-)
J'ai plus rien à lire c'est le drame! Je me suis replongée dans mes anciens livres en attendant la gigantesque razzia que je vais faire demain! :D
si tu veux que je te le prête il va falloir que tu attendes un peu, tu dois être 4012ème sur la liste d'attente :)
RépondreSupprimerHaaaan mais je ne passe pas devant tout le monde sur la liste d'attente??? Je devrais pourtant non? ;-)
RépondreSupprimer(Non je n'en veux pas en plus!)
T'inquiète !!! Moi je me moquerai jamais !!!
RépondreSupprimerMoi je lis super lentement. En 2008, j'ai commencé "Guerre". En 2009, j'ai lu "Et".
Cette année j'ai commencé "Paix".
L'an prochan, j'attaque la page 2.
Est-ce ton premier Coben que tu lis ?
RépondreSupprimerAs-tu vu Ne le dis à personne de Guillaume Canet. Si non, lis le livre en premier et vois le film en suivant.
Berléand est un hommage et un clin d'oeil à l'acteur Berléand qui joue dans le film de Guillaume Canet.
Je suis une pro de Coben, c'est tout :XD
Ne me rajoute pas sur ta liste.Déjà acheté et déjà lu /xd
@shaya c'est vrai que c'est un peu osé pour une princesse comme toi... je m'en excuse mais là il y a un droit d'aînesse qui va s'appliquer :)
RépondreSupprimer@balmeyer mais t'es bête ils en ont fait un film ! rambo ça s'appelle je crois !
@angelita oui c'est mon premier, et si parle de Simenon c'est que j'ai lu un article du Monde dans lequel ils disaient que c'était MAigret le modèle...
RépondreSupprimerPutain ! J'avais jamais vu autant de mots dans un billet de blog ici (à part les deux feuilletons).
RépondreSupprimerHein, Balmeyer, c'est impressionnant, non ?
Bon, je lis demain, j'ai bistro.
Nicolas, je ne sais pas, je n'ai lu que le début.
RépondreSupprimerD'où l'idée qu'il faut terminer ses billets par une révélation fracassante, pour voir si les lecteurs suivent, genre "je suis le fils caché de Mitterand" ou pire "je lis des livres".
RépondreSupprimerBen tiens ! Il ne te manquait plus que la critique littéraire à ton blog :-)
RépondreSupprimerA voté !
RépondreSupprimer@Nicolas oui tout plein de mots ! là je suis lancé ! vous allez en bouffer du mot avec balmeyer :)
RépondreSupprimer@falconhill j'expérimente :)
@nekkonezumi ouf une personne de moins sur la liste d'attente